19 juinJeu d’émauxJe maudis ma voiture mais ne dis mot car je cale en bourg car mon joint de cul lasse. Je stoppe in en bourg. J’allume une cigarette car pour descendre il faut des cendres. Je descends au bar beau "le cobra se rit" en espérant des plats nets. Le patron n’est pas poltron, des bras à débiter des troncs, une bite à troncher à bout de bras. Il me conseille une tête de veau me trouve une face dévot, moi qui bouffe du curé croque la bête jusqu’à la raie. À la raie je cale car elle sent l’alcali, mais loin de pousser l’hallali je me fais tout petit ce qui n’est pas difficile, vu que mes cils sentent des pieds. À force de l’épier, le patron se doute et voyant le poisson gésir dans l’assiette il propose un coquet coquelet.- M’est ta poussa, c’est pas tout ça bredouille-je comme une courge, m’occuper de mon véhicule dois-je. En suçant mon doigt telle une sangsue je règle et sors tandis que le cuistot son Marcel essore.Le mécano est costaud il a retapé mon auto tandis que moi au restau je bouffais comme un salaud.Moralité : il est mort alité, elle est pas de moi mais j’ai tous les droits, sous mon toit je suis un petit roi et je guette le croche-pied de mot comme une proie.La littérature à deux balles, c’est ma croix... ma foi.
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