9 juilletLa loose - La grosse GinetteOn la croyait perdue, je la croyais oubliée… Ginette, joli nom Ginette, refit surface ; je ne pensais pas qu’un joli petit cul fut aussi hargneux. Elle était d’accord pour retirer sa plainte, à la condition financière. Au courant de ma relation avec Angèle par je ne sais quel biais, elle jura de tout cracher, si je n’allongeais pas l’oseille.Qu’allait-elle cracher ? Mes déboires avec la justice ? Angèle était au jus… Nos frasques ? Angèle se doutait bien que j’avais une vie avant la sienne… Mentir sur les dates et lui faire croire qu’on était ensemble ? C’était le menu que proposait la grosse, je l’appelai comme as pour m’apprendre à la haïr, il allait falloir car je la savais tenace…Je pensais m’ouvrir de ce problème, je voyais Angèle en fin d’après-midi au bar…Arrivé à notre établissement, la loose était de retour. Ginette et son gros cul étaient déjà dans les murs, comment l’avait-elle appris ? Je ne le saurai jamais... Comment reconnut-elle Angèle tout de suite ? mystère. Elle se dirigea vers elle et s’apprêta à lui cracher le morceau, lorsque j’arrivai. Ginette se tourna vers moi me roula un patin à m’étouffer et se tourna vers Angèle.- Qui est cette pouffe ?- Angèle je t’ai parlé de cette passade, c’est une folle, elle veut me faire chanter, il y a longtemps qu’elle s’est barrée. Elle a tenté de me faire un procès.Ginette me sauta aux yeux toutes griffes dehors, comme un chat saute sur les yeux d’un chien. Angèle empoigna sa touffe de cheveux qui lui resta dans les mains, une moumoute ! je l’ignorai… Et les deux femmes se livrèrent à un pugilat digne du meilleur western, je tentai de les séparer, le patron me retint : laisse, la grosse a besoin d’une correction… Oui mais… Pas de problème, Angèle a l’habitude elle a une gnaque de taureau… En effet quelques chaises renversées plus tard Ginette récupéra son sac et fuit l’œil bleu et bas, sans bourse demander. Sur le pas de la porte elle eut tout de même le culot de crier : on se reverra ! Angèle esquissa un mouvement et l’autre prit ses grosses jambes à son cou.Angèle toute en sueur m’enlaça et me murmura : toi alors, on n’a pas fini de s’amuser tous les deux.Il lui resta assez d’énergie pour me violer le soir même, et j’avoue que j’y pris assez de plaisir...A suivre... demain !
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